Avons-nous intérêt à poursuivre notre coopération avec le Royaume-Uni en matière nucléaire si la pérennité de leurs compétences en matière de dissuasion est incertaine ? Dans un autre domaine, peut-on envisager la mise au point d'un vecteur de type AMSP-A tiré de la mer, ce qui permettrait une autre plage d'emploi qu'avec les vecteurs aéroportés ? Enfin, alors que l'actualité nous fait nous intéresser à l'avenir d'Alstom, pourriez-vous nous dire un mot sur l'évolution de la coopération entre General Electric et Safran au sein de la joint-venture créée pour fabriquer les réacteurs de la série CFM ?