S’agissant de l’adhésion ou non à l’Ordre national, la situation vécue aujourd’hui par les infirmiers n’est évidemment pas satisfaisante. Je me réjouis d’entendre vos propos, monsieur le député, car s’il y a aujourd’hui un ordre, c’est parce que votre majorité a souhaité l’instaurer en 2006, alors même que l’écrasante majorité des infirmiers ont marqué depuis le départ leur opposition à sa création.