Merci, mon général, pour votre brillant exposé avec lequel je suis d'accord en tous points. Vous ne trouverez d'ailleurs ici que des défenseurs de la loi de programmation militaire et nous serons à vos côtés lorsqu'il faudra batailler pour en obtenir les financements.
Certains responsables ou anciens responsables politiques de très haut niveau font entendre une voix différente. Ainsi Michel Rocard, ancien Premier ministre, considère-t-il que la dissuasion nucléaire n'a aujourd'hui aucun sens ; Paul Quilès, ancien ministre de la Défense, la juge pour sa part une doctrine dépassée.