Vous avez pris vivement parti pour le maintien des deux composantes de la dissuasion nucléaire ; certains préconisent toutefois de n'en conserver qu'une. Selon vous, le maintien de la dissuasion ne se fait pas au détriment de l'armement conventionnel : pouvez-vous développer cet aspect ?
Nos quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SLNE) devraient être en service jusqu'en 2030 ; le vrai problème budgétaire ne risque-t-il pas de se poser lorsqu'il faudra construire la troisième génération de SNLE, c'est-à-dire dans la prochaine LPM ?