Nous savons tous que les cantines se voient dans l’impossibilité de recourir aux achats locaux car un seul producteur, de viande par exemple, ne saurait satisfaire l’ensemble de la demande d’une école. Les appels d’offres portent sur des quantités significatives et les règles en vigueur, je parle sous votre contrôle madame la ministre, interdisent de fait l’accès des petits producteurs à ces achats collectifs.