Le Conseil supérieur de la coopération joue un rôle primordial d’interface entre les pouvoirs publics et les représentants des entreprises coopératives. C’est une instance de dialogue, qui a d’ailleurs contribué de manière très active aux travaux d’élaboration de ce projet de loi, en particulier des dispositions qui concerne le titre III. C’est donc qu’il doit bien se réunir.