Nous ne voterons pas pour ces deux amendements. Le premier crée en effet une nouvelle taxe qui pèsera sur les entreprises, pour financer des actions de communication qui sont en fait pilotées par l’État, et soumet aux instances de concertation les actions de communication de portée nationale, ce qui va à l’encontre de la liberté des entreprises.
Quant au second, remet en cause assez fortement la gouvernance des sociétés qui étaient jusqu’à présent agréées.