Je partage les propos du président de la commission de surveillance sur le prélèvement effectué par l'État sur les résultats de la Caisse.
Monsieur Lemas, vous avez évoqué les marges de manoeuvre, l'agilité et l'adaptabilité de la Caisse : elle pourrait dégager des plus-values si l'État ne les prélevait pas à hauteur de 85 %.
Quel jugement portez-vous par ailleurs sur le plan stratégique ?