Alors que les élections européennes approchent et que la situation économique et financière de l'Europe reste préoccupante, de nombreuses initiatives sont en cours, que vous avez rappelées et qui vont nous donner l'occasion de nous revoir.
Le remaniement ministériel a modifié le dispositif de suivi des affaires européennes au niveau de l'exécutif. Ce point est moins secondaire qu'il n'y paraît. La nomination d'un conseiller commun au Président de la République et au Premier ministre qui est également chargé du secrétariat général des affaires européennes représente une évolution importante que je salue à titre personnel, car elle rationalise le traitement des questions européennes par l'exécutif et clarifie la situation vis-à-vis de nos partenaires. Pouvez-vous nous en dire un mot, ainsi que de votre place au sein de ce dispositif ?