Nous connaissons les solutions, à peu de chose près. L'ANAP a fait plusieurs études sur le sujet, et les préconisations des professionnels rejoignent d'ailleurs celles de la puissance publique. Le contexte est donc particulièrement favorable à cette rationalisation. Sachez qu'à la MECSS, le mot « économies » a une connotation positive.
Le directeur général de la CNAMTS estime que, dans le cadre de la dématérialisation, il faut mettre en oeuvre une pédagogie auprès des prescripteurs, essentiellement les médecins libéraux de ville. Nous voyons bien que celle-ci bute sur l'enceinte des établissements de soins. En tant que direction du ministère de tutelle, la DGOS a une autorité plus forte pour le faire. Puisque nous connaissons les solutions, quand comptez-vous les mettre en oeuvre ?