Vous avez eu l'occasion de nous dire, à propos de la crise en Ukraine, que l'on ne ferait pas la guerre, ce que j'approuve. Il importe donc de trouver l'équilibre permettant de limiter les excès de M. Poutine tout en renouant avec lui un dialogue indispensable, la Russie faisant partie du système européen. C'est tout l'art, difficile, de la diplomatie, qui doit conduire à résoudre ce problème particulier et à en traiter d'autres, en Iran et en Syrie.