Il a déjà été dit qu'Alstom participait au savoir-faire de la filière nucléaire française, filière d'excellence qui est probablement la troisième pourvoyeuse d'emplois. La décision de fermer Fessenheim par anticipation, alors que l'exploitation d'autres centrales du même type est autorisée pour soixante ans aux États-Unis, n'est-elle pas un handicap pour cette filière ? Ne serait-il pas possible de différer cette décision, qui supprimera directement et indirectement 2 200 emplois dans un bassin de vie où il sera difficile de les remplacer ?