Dans la mesure où il est proposé de réévaluer l'impact de cette écotaxe dans le délai d'un an suivant sa mise en oeuvre, et notamment sur le trafic routier dans les zones de moyenne montagne, nous acceptons de retirer cet amendement.
Nous nous permettons de suggérer que l'ensemble des niches fiscales anti-écologiques fasse l'objet d'un rapport ou d'une étude plus approfondie. Il y a là des marges de manoeuvre qu'il serait dommage de ne pas exploiter, dans l'intérêt de l'environnement et des finances publiques.