Je suis très gêné par les propos du rapporteur qui dans le même temps affirme la constitutionnalité du principe d'individualisation des peines et la nécessité de le rappeler dans la loi.
Votre méthode me semble extrêmement perverse. Avec ce projet de loi, vous prétendez introduire un nouveau principe alors que celui-ci s'applique déjà. Vous parez des atours de la nouveauté des concepts qui font partie des fondamentaux du droit pénal afin de convaincre que tout ce qui a été fait précédemment l'a été en contradiction avec ces derniers. Je suis abasourdi par cette tautologie.