Nos forces armées sont confrontées à des situations qui n’ont plus rien à voir avec les prévisions rassurantes dont le chef de l’État avait entouré nos engagements dans ces deux pays. Très clairement, l’enlisement est en cours, faute de solution politique aux conflits.
Vos erreurs d’estimation, monsieur le Premier ministre, conduisent à une situation extrêmement difficile. J’ai deux questions. Tout d’abord, vous engagez-vous à faire en sorte que le budget 2014 de la défense ne connaisse aucun abattement et que les surcoûts liés aux OPEX, dont le coût prévisionnel pour 2014 a déjà doublé, soient intégralement compensés, comme prévu ?