Cet amendement rédactionnel rappelle dans les missions de l'EPIC de tête le rôle d'ensemblier dans la gestion des crises ferroviaires. L'EPIC de tête couvrira pendant de nombreuses années – et peut-être définitivement – entre 80 et 90 % des circulations ferroviaires ; il s'avère donc essentiel de le doter de cette responsabilité pour mieux gérer les accidents comme celui de Brétigny-sur-Orge ou pour éviter les polémiques comme celle que nous connaissons aujourd'hui entre ceux qui accusent les nouvelles rames de TER d'être trop larges et ceux qui imputent la faute aux concepteurs des quais.