Cet amendement vise à supprimer les nombreuses limites qui empêchent les récidivistes d'avoir accès à un aménagement de peine – qu'il s'agisse du placement à l'extérieur, de la semi-liberté ou du placement sous surveillance électronique – ou à une libération conditionnelle.
Les aménagements de peine ont pourtant un impact sur la lutte contre la récidive, et, en matière de réinsertion du détenu, la libération conditionnelle est reconnue comme un mode de sortie nettement plus efficace que les « sorties sèches ».