Un schéma national des services de transport s'impose, pour deux raisons au moins. La première est que pour donner suites aux conclusions de la commission Mobilité 21, M. Jean-Marc Ayrault, alors Premier ministre, a pris en juillet 2013 des engagements relatifs au développement des infrastructures de transport ; comment procéder de manière cohérente sans schéma national ? D'autre part, comment mener la discussion sur le volet territorial des contrats de plan État-régions sans vision nationale du transport ? Qu'il s'agisse des grandes lignes nationales ou des TET, un schéma d'ensemble est nécessaire, qu'il convient ensuite de décliner au niveau régional.