Il faut veiller à ce que certains amendements déposés par des collègues adeptes du libéralisme ne constituent pas des mèches lentes avec un bâton de dynamite au bout. Plusieurs de ceux présentés aujourd'hui peuvent créer des difficultés quant à l'acceptation future du texte.
Tout comme il n'était pas, à mon sens, opportun d'accepter l'amendement CD128 qui fait allusion à la concurrence « libre et non faussée », de même, ces deux amendements risqueraient, s'ils étaient adoptés, de semer le trouble et de susciter la contestation au motif que le texte anticipe sur l'ouverture à la concurrence et évoque la maîtrise des coûts.