Ce serait une forme d'irrespect du Gouvernement à l'égard du Parlement, qui ne s'est pas encore prononcé sur le projet de loi portant réforme ferroviaire, que d'avancer maintenant le nom d'une personnalité considérée apte à remplir les fonctions de président du conseil de surveillance de la future SNCF. Pour autant, bien entendu, nous y réfléchissons.