La controverse de ces derniers jours sur l'incompatibilité entre les rames commandées et les quais devrait suffire à convaincre celles et ceux qui douteraient de l'intérêt de renforcer le rôle de l'ARAF. Celle-ci avait insisté, dans ses derniers rapports, sur l'urgence de créer un registre d'infrastructures recensant l'ensemble des caractéristiques des infrastructures ; le ministre insiste à son tour fort justement. Il y a tout à gagner à renforcer le rôle de l'ARAF, non seulement en termes de cohérence mais aussi de conformité à la réglementation communautaire. Cela permettrait d'éviter bien des erreurs.