Augmenter le nombre de membres du collège de l'ARAF et dire qu'ils exerceront leurs fonctions à temps plein est aussi incompréhensible que coûteux. Sauf à imaginer que le Gouvernement s'inquiète du sort, dans les prochains mois, de quelques personnalités en mal de reclassement, comment justifier une mesure dont le coût représente quelque 2 millions d'euros, soit plus de 15 % du budget de l'Autorité ?