L'anarcho-libéral que je suis ne supporte pas le terme de commissaire du Gouvernement, je l'avoue. (Rires sur tous les bancs)
N'est-il donc pas possible de se parler sans formalisation administrative, sans représentant officiel ? Le président de l'ARAF a le téléphone et il est tout à fait possible de l'appeler ! Cette disposition donne vraiment le sentiment que l'État passe son temps à vouloir tout contrôler. Je comprends bien les propos du rapporteur : l'État a besoin de faire passer des messages ; mais cela doit-il forcément passer par un représentant officiel ?