Vous avez souligné que la faiblesse de la charge d'intérêts de la dette avait contribué à la modération des dépenses en 2013. Or, la dette est soit indexée sur les prix, soit soumise à des taux d'intérêt variables. Quelle est l'appréciation de la Cour sur l'élasticité de la charge de la dette par rapport à ces deux éléments ? Il importe que notre Commission puisse appréhender l'incidence que pourrait avoir un relèvement de ces deux facteurs d'aggravation de nos dépenses.