La Cour européenne des droits de l’homme a reconnu à Noël Mamère le droit à l’exagération, le droit de tenir des propos immodérés.
Au demeurant, y a-t-il urgence ? À l’évidence, non, puisque les faits remontent au mois de mars 2013. Selon la commission ad hoc, la suspension des poursuites créerait un trouble à l’ordre public. Selon vous, cher Matthias Fekl, faire droit à la demande d’Henri Guaino ajouterait à la profonde crise que connaît le pays.