Au niveau international, nous perdons 3 % de part de marché par an depuis maintenant plus de quinze ans. La perte de compétitivité de notre secteur routier pose donc des problèmes multiples, aussi bien énergétiques que sociaux. Je crois qu'il faut repousser cet amendement.
Peut-être le Gouvernement va-t-il reprendre la parole ? J'avais cru comprendre que le Premier ministre avait annoncé une grande réflexion sur la politique énergétique : il est temps d'aborder sérieusement ce problème et de voir de quelle manière on peut en sortir.