Elle en a la possibilité.
Le budget de la DGSE est désormais contrôlé et il y a des réunions constructives avec les services. Nous n'en sommes pas au même stade que l'Allemagne ou les Etats-Unis, mais les responsables savent qu'ils sont sous le regard insistant du Parlement. L'affaire Merah l'a bien montré : beaucoup de questions ont été posées.
J'ajoute qu'un coordonnateur national du renseignement, M. Ange Mancini, a été nommé pour faire la synthèse, éviter la guerre des services et décloisonner l'ensemble.