Quand nous avons accueilli M. Lacoste après l'accident de Fukushima et les opérations commandos de Greenpeace, nous avons constaté que les notions de sûreté et de sécurité ne renvoyaient pas forcément à la même gouvernance et que l'ASN n'avait pas son mot à dire sur les aspects touchant à la sécurité : quel avis portez-vous sur cette difficulté à prendre des mesures cohérentes et coordonnées ?