Certains acteurs de l'agroalimentaire, que nous avons rencontrés ce matin à l'occasion d'une table ronde, se sont montrés contrariés par la suppression du ministère délégué à leur secteur ; nous leur avons rappelé que votre portefeuille incluait explicitement cette compétence, et qu'elle vous tenait à coeur.
Vous avez surtout évoqué les risques climatiques. Qu'en est-il des risques de marché ?
Les établissements financiers définiront-ils eux-mêmes l'équilibre économique du modèle assurantiel ? De quel pouvoir disposez-vous pour peser dans ce débat compliqué ?
Les Hautes-Pyrénées et la Haute-Garonne ont été fortement touchées par les inondations. La prévention, aviez-vous dit, est l'un des principaux axes de votre action, et cela passe par exemple par une clarification des droits et responsabilités des agriculteurs dans l'entretien des cours d'eau. Avez-vous des pistes à ce sujet ? Où en sont les discussions avec les agriculteurs ?