Il n'est pas difficile d'évaluer les pertes d'un céréalier ou d'un éleveur et, pour ce qui est de la production de foin et de protéines fourragères, on peut calculer le manque à gagner par rapport à la production moyenne ou envisagée. Il est moins aisé de chiffrer les pertes dans un système de polyculture. Or la difficulté d'évaluer un risque fait toujours augmenter le montant des primes d'assurance. Nous devrons trouver un système plus adapté à l'agroécologie.