En évoquant cela, je pensais à ce que j'avais entendu de votre projet : les étrangers qui le souhaitent pourraient s'approprier des monuments, tout ne se passerait pas forcément à Paris et, grâce au numérique, certains aspects pourraient être organisés en province. En outre, dans la préparation du projet, il est prévu de beaucoup recourir au numérique, notamment pour faire travailler les gens ensemble, ce qui est très important.
Cela s'inscrit dans cette nouvelle manière de voir, fondée sur les données ouvertes, la collaboration et les plateformes collaboratives. Mais cela pose de gros problèmes de propriété intellectuelle. Reste que cette approche permet de développer un esprit collectif à l'intérieur de la France et entre nos partenaires étrangers et nous, qui peut grandement contribuer à améliorer notre image.