Rien d’autre, mes chers collègues ! Je ne souhaite pas ranimer cette querelle. En aucun cas, et d’aucune manière, je ne veux porter préjudice à ceux qui ont eu le grand malheur d’avoir été victimes de gestes incestueux dans leur jeunesse, dans leur enfance, quelle que soit la nature de ces gestes. J’ai rencontré beaucoup de ces victimes, dans une existence passée, et je mesure le traumatisme que cela peut représenter. Parce que cette phrase-là a été isolée du reste de mes propos, j’ai reçu beaucoup de courriels, beaucoup de lettres me demandant des explications : j’ai pris la précaution de répondre à chacun d’entre eux.
Voilà les explications que je voulais vous donner. Je n’irai pas plus loin.