Je précise que nous ne voulons pas rompre le dialogue avec la Russie. Il faut essayer de rester attentifs : il y a sur place des actions inadmissibles, mais il ne faut pas rejeter la Russie. Il n'est pas sûr qu'elle veuille récupérer le Donbass, la situation n'est pas la même qu'en Crimée.
Je rappelle que j'ai voulu un déplacement du groupe « Proximité orientale » en Ukraine début juillet, soit après les élections, dans une situation plus clarifiée. Continuons à suivre.