Comme mon collègue Jean-Marie Sermier, je tiens à dire mon entier soutien à ceux qui, au sein de la SNCF et de RFF, ont la responsabilité de faire, pendant que ceux qui ont le pouvoir de dire et de commenter en usent sans limite et parfois sans réfléchir. Il serait bon, aussi, que chacun songe à balayer devant sa porte : ceux qui demandaient la création d'une commission d'enquête parlementaire sur cette affaire n'avaient pas exactement le ton qu'ils adoptent aujourd'hui. Aussi bien, nous devrions nous associer pour faire revenir le calme.
Messieurs les présidents, comment, en l'état actuel du projet de réforme ferroviaire, l'EPIC de tête pourra-t-il éviter que se reproduise le manque flagrant de communication dont il a été fait état ?