Votre projet s'appuie sur un financement de 230 millions d'euros répartis entre les actionnaires et deux fonds d'investissement anglo-saxons, d'où l'article critique auquel vous avez fait référence. Pouvez-vous nous apporter des éléments complémentaires ?
De quelle façon entendez-vous concilier les attentes des investisseurs, qui espèrent un taux de rentabilité interne de 16 % environ, et celles des salariés en matière d'emplois et de retraites ?