La Cour n'entend pas que les fonds dédiés sortent du compte des exploitants, ce qui reviendrait à transférer la responsabilité de leur gestion à l'État. Elle souhaite néanmoins que la DGEC puisse exercer un contrôle efficient, en s'appuyant sur des expertises extérieures. Est-ce à dire que celle-ci dispose des moyens de contrôle insuffisants ?
Comme le rapporteur, j'aimerais qu'on évalue les conséquences financières, pour l'État, de la couverture du risque nucléaire, lequel me semble hors de mesure avec celui de l'éolien ou du solaire.