Il n'y a rien d'officiel à ce stade. Le maire de Londres a clairement indiqué, il y a trois semaines, qu'il envisageait d'ores et déjà des sites pour préparer la candidature de sa ville. De manière plus informelle, on sait qu'il existe des projets aux Pays-Bas, en Chine, aux États-Unis.
Dans la lutte mondiale pour le soft power, il est intéressant de voir à quel point ces événements sont devenus des outils de stimulation de la croissance et d'engagement citoyen. Embarquer tous les Français, entreprises et monde politique compris, dans une compétition qui trace une perspective, est en soi créateur de valeur.