C'est le taux national ; le chiffre de 68 % est le taux constaté dans les Hauts-de-Seine. Nous agissons, mais il existe d'autres priorités à l'hôpital, si bien qu'il serait inopportun de privilégier la question des transports : la prescription de médicaments, dont très peu sont des génériques, par les médecins hospitaliers représente ainsi un risque financier autrement plus sérieux que les transports.
Pour commencer, l'assurance maladie, en l'état actuel des choses, ne connaît pas l'identité du prescripteur hospitalier. On ne connaît que le nom de l'établissement, puisqu'il s'agit d'une prescription hospitalière. Mais nous devrions bientôt être en mesure d'identifier le prescripteur.