Je comprends la position d'Éric Woerth visant à renforcer la coopération internationale. Il ne faut pas pour autant oublier que certains pays sont plus déterminés que d'autres, en particulier les États-Unis, qui prennent des décisions que nous avons été incapables de prendre et d'assumer. Et sur ce sujet de la coopération internationale, monsieur Woerth, je vous renvoie également à la question de l'une de vos collègues, hier en séance, sur la convention avec la Suisse, qui ne semblait pas aller dans le sens de la lutte contre la fraude fiscale.