Vous ne semblez pas avoir détecté une augmentation importante des départs de jeunes ingénieurs français sous la pression de la conjoncture économique. Pouvez-vous préciser votre réponse sur ce point ?
Aujourd'hui, les trois quarts des ingénieurs dans le monde sont formés en Asie du Sud-Est. Quel est le niveau d'attractivité de la France ? Notre pays figure-t-il en bonne place dans les choix des étudiants américains et asiatiques candidats à l'international ?
Ce n'est pas la première fois que la notion de « diaspora » est évoquée devant notre commission s'agissant des ingénieurs. Comment animer la nôtre ? Les autres pays utilisent-ils davantage leur réseau ? Existe-t-il des bonnes pratiques que nous pourrions reprendre ?
Enfin, la France attire-t-elle suffisamment d'enseignants étrangers dans ses écoles d'ingénieurs ? Figure-t-elle parmi les pays les plus demandés ?