Madame la présidente, vous me permettrez de ne pas partager votre optimisme concernant la possibilité, pour les étudiants étrangers ayant terminé leurs études, de rester dans notre pays. En effet, il est souvent extrêmement difficile de passer d'une carte d'étudiant à une carte permettent de travailler. Et j'ai remarqué que, dans ma région, nombre d'étudiants, notamment africains, sont littéralement « happés » à la fin de leurs études par le Canada qui les recrute et leur offre immédiatement une carte de séjour définitive.