Vous avez dit qu'il fallait éviter toute rupture de l'opérabilité, en particulier dans le domaine informatique et des réseaux, au moment du transfert. Or il y aura un moment de fragilité absolue. Celui-ci n'échappera à personne, à une époque où la cybermenace est à son paroxysme en raison, notamment, de l'évolution des activités djihadistes et salafistes. Vous en êtes-vous prémuni ? Avez-vous mis en place, en partenariat avec l'ANSSI et les services compétents de la Défense, une stratégie et un plan pour écarter tout risque ?
Enfin, je m'inquiète moi aussi de la cohabitation d'internet et d'intranet. Si les réseaux sont complètement séparés, cela peut se concevoir, mais il faut le vérifier car c'est essentiel.