Peut-on vraiment comparer l'intention d'émigrer, dans la France de l'après-guerre, et la situation que l'on observe aujourd'hui ? Selon la chambre de commerce et d'industrie de Paris, 50 % des jeunes diplômés – à moins de bac+3 – partent pour l'étranger, parce qu'ils ont du mal à trouver un emploi ou un salaire correspondant à leurs aspirations.