Monsieur Bordes, je vous remercie chaleureusement au nom de la commission. Comme toujours après la remise d'un rapport, nous nous interrogeons sur son sort, mais c'est à ses destinataires, et non à vous, que nous devons poser cette question – ce que nous ne manquerons pas de faire le moment venu, quitte à prendre ensuite nos responsabilités, en modifiant la loi s'il le faut.
Grâce à vous, nous aurons désormais un point de vue différent sur une question que l'on résume trop souvent à l'exposition de la musique à la télévision, notamment lorsque l'on interroge le président-directeur général de France Télévisions. Cela nous permettra peut-être d'échapper à cette réponse, devenue traditionnelle : « Si j'avais les moyens… ! »