Premier aspect : l'approche systématiquement macro-économique du phénomène. Je dois avouer une forme d'incompréhension car, très franchement, s'il y a un sujet qui doit s'apprécier sur le plan microéconomique autant que sur le plan macroéconomique, c'est bien celui des heures supplémentaires. Il est difficile de prétendre que les activités et missions qui peuvent conduire un chef d'entreprise à recourir aux heures supplémentaires correspondent nécessairement à la création d'un poste à temps plein.