Quelques mots pour apporter mon soutien vigoureux à l'amendement de la commission des affaires sociales, qui est le résultat d'un travail collectif.
En réalité, quand on s'interroge sur les causes véritables de la rupture des contrats d'apprentissage, on s'aperçoit que, la plupart du temps, elles sont dues à la fois au défaut d'orientation et au manque d'accompagnement. Le dispositif prévu dans cet amendement est tout à fait propice à améliorer les relations entre le maître d'apprentissage et son apprenti, en particulier quand les situations sont délicates et Dieu sait s'il y en a malheureusement. Bienvenue à ce dispositif !
Tout en faisant parfaitement droit aux observations formulées par nos collègues lorsqu'ils ont défendu des amendements identiques, je n'ai pas vu dans l'amendement de la commission des affaires sociales une forme d'exclusivité à l'égard d'un organisme et d'une région en particulier. Son exposé sommaire indique même le contraire, au point qu'un de ses paragraphes a été repris mot pour mot dans les autres amendements.
Je peux comprendre les réserves qui ont été émises, mais force doit rester au texte de la commission des affaires sociales. Voilà pourquoi nous le soutiendrons.