Au risque de vous déplaire, je ferai la même réponse : ce n’est pas l’objet de cette proposition de loi. Mais j’irai plus loin. Lorsque vous dites, monsieur Breton, qu’il faut choisir la meilleure famille pour l’enfant à adopter, j’entends : la meilleure famille, quelle qu’elle puisse être. Les couples mariés ne sont pas les seuls à pouvoir adopter ; il s’agit de désigner les meilleurs parents ou le meilleur parent pour l’enfant, car c’est l’intérêt supérieur de ce dernier qui prime.