À l’occasion de l’examen de cet article, je voudrais exprimer ce qui me frappe depuis que nous avons débuté la discussion de ce texte. Que nous soyons d’accord ou non sur telle ou telle disposition pratique et juridique, c’est la vie normale de la démocratie et du Parlement. Pourquoi faut-il que ces désaccords se manifestent dans l’outrance, la caricature et les procès d’intention ?