Quant au président Le Bouillonnec, je tiens à le remercier parce que nous apprenons tous les jours : ce n’est pas parce que nous avons commis une faute que vous devez commettre la même ! Vous persévérez ainsi dans l’erreur puisque vous continuez à pratiquer les mêmes turpitudes, pour employer un vocabulaire cher au regretté Jean-Pierre Brard, que j’aimerais avoir un jour le plaisir de retrouver dans l’hémicycle,…