Monsieur le ministre, en décembre, vous nous indiquiez que nos forces resteraient en Centrafrique pendant six mois. Ce délai s'achève. À vous entendre, je crois comprendre que la situation se complique de plus en plus. La MINUSCA, forte de 12 000 hommes, soit 10 000 soldats, 1 800 policiers et 200 civils, s'installera le 15 septembre. Quand comptez-vous relever les 2 000 militaires français encore sur place ? Qui finance leur présence aujourd'hui, et qui la financera après le 15 septembre ?